Étiquette : Cent ans de solitude

La vie, ce n’est pas ce qu’on a vécu, mais ce dont on se souvient pour le raconter

La vie, ce n’est pas ce qu’on a vécu, mais ce dont on se souvient pour le raconter

Posté le 25 Avril 2015 Comme il y a un an, peu avant que Gabito ne rejoigne José Arcadio Buendia, j’ai été agrippé par son dernier livre : « Vivre pour la raconter », qui m’a fait signe de l’étagère où j’avais oublié même l’y avoir déposé. 

Car aux lignées condamnées à cent ans de solitude, il n’était pas donné sur terre de seconde chance.

Car aux lignées condamnées à cent ans de solitude, il n’était pas donné sur terre de seconde chance.

Posté le 01 Mai 2014 C’est ainsi que se termine l’immense saga des Buendia et qu’il me faut honorer ma promesse de fournir un arbre généalogique des dix générations qui la composent. Au travers de ce siècle dont les piliers homériques sont l’indomptable et lucide 

Cent ans de solitude

Cent ans de solitude

Posté le 14 Avril 2014 Voilà, c’est décidé : je relis cent ans de solitude. C’est la quatrième fois. La première, j’avais 18 ans, et c’est un ami espagnol qui me l’avait passé : « tiens, lis ça, ça va te plaire ». Alors débuta une longue 

Gabriel Garcia Marquez a rejoint José Arcadio Buendia

Gabriel Garcia Marquez a rejoint José Arcadio Buendia

Posté le 19 Avril 2014 Comme le colonel Aureliano Buendia, aurais-je été victime d’une sombre prémonition, en commençant à relire Cent ans de solitude, alors que le patriarche entrait en agonie ? « Gabo », comme on le surnommait en Amérique latine, est mort chez 

Le sermon sur la chute de Rome

Le sermon sur la chute de Rome

Posté le 01 Octobre 2013 Lisez Le sermon sur la chute de Rome, qui méritait bien davantage le Goncourt (2012) que La carte et le territoire (Houellebecq, prix 2010). Jérôme Ferrari possède une écriture somptueuse, narrative, à mi chemin peut-être entre Gabriel Garcia Marquez, dont