Nicolas de Staël au palais de Tokyo
Le musée d’art moderne de la ville de Paris, à l’architecture lumineuse, consacre une magnifique rétrospective (200 tableaux !) à ce peintre torturé, bourreau de travail, marqué très tôt par le destin, perpétuellement en quête d’un idéal impossible à atteindre, et qui finira par mettre fin à ces jours en 1955, à l’age de 41 ans.