Maris et femmes
Du grand Woody,
et selon vos préférences, au théâtre ou au cinéma,
ou les deux, après tout…
De la comédie, du Jazz, encore de la comédie, toujours de la comédie, et une pincée de nostalgie avec une pointe d’acidité – juste assez pour échapper à la complaisance douceâtre.
L’humour Allenien, aigu, distancié, bienveillant, teinté de psychanalyse narquoise : la vie n’a aucun sens, mais vaut la peine d’être vécue.
On se régale.