Pour partager
Il y a 40 ans, à La Rochelle, où je vivais à l’époque,
Martin gray m’avait dédicacé son livre « Au nom de tous les miens« .
Il avait écrit simplement : « à Georges, pour partager« .
Sa disparition à l’âge de 93 ans me touche profondément.
De lui, j’ai retenu cette phrase de son père :
« la première chance, Martin, ne laisse jamais passer la première chance« ,
qui avait fait de lui un des très rares survivants de Treblinka,
et la nécessité, comme Léon ou le petit prince,
de toujours prendre le temps de s’occuper d’une plante ou d’une fleur…