Étiquette : amour

La terre chinoise

La terre chinoise

Elle, battue dans son enfance, en est devenue incontinente; lui, dernier d’une fratrie de quatre, est considéré par son ainé comme l’idiot du village. Pour s’en débarrasser, leurs familles les marient et ils s’installent ensemble dans un taudis misérable de la campagne chinoise. Mais ces 

Deux amours à Barcelone

Deux amours à Barcelone

Dans la Barcelone des années 60, Manolo Reyes, dit Bande-à-part, le beau garçon qui écume le quartier du mont Carmel, rêve de sortir de la misère où lui et ses congénères vivent d’expédients et de larcins. Il gâche sa vie à voler des motocyclettes pour 

Bienvenue chez les Shtisel

Bienvenue chez les Shtisel

J’aurais pu appeler ce post « Ultra-orthodoxes », en référence à l’excellente mini-série « Unorthodox » également au menu de Netflix. En tout état de cause, les Shtisel, on adore, voilà, c’est dit. Les hommes, barbe broussailleuse, chapeaux noirs et papillotes, passent leur temps à étudier la Torah et 

Jeu de miroirs

Jeu de miroirs

Curieusement, le côté introspectif de « Drive my car », le film de Ryusuke Hamaguchi dont le titre reprend celui d’un tube des Beatles, m’a fait penser à Solaris, film magnifique qu’Andrei Tarkovski mettait en scène en 1972 d’après le roman de Stanislas Lem. Son remake en 

L’amant américain

L’amant américain

Sam a 21 ans quand il fait, en 1977, un séjour de quelques mois à Paris où il habite dans un petit hôtel du Vème, avant que d’entamer une longue carrière d’avocat new-yorkais. Dans une librairie qui fête la parution d’un livre, il fait la 

Tous les hommes n’habitent pas le monde de la même façon

Tous les hommes n’habitent pas le monde de la même façon

Je n’ai pas lu tout Jean-Paul Dubois, mais peu s’en faut. Je ne me souviens plus si j’ai d’abord rencontré « Kennedy et moi » sous les auspices du livre ou du film, mais si j’avais quelques romans à emporter sur l’ile déserte, il en serait sans 

Je reviendrai avec la pluie

Je reviendrai avec la pluie

Takumi, un employé qui se dit lui-même de faible constitution, « au point même de ne plus avoir assez de force pour respirer », élève seul, tant bien que mal, son petit garçon de six ans, Yûji, qui l’appelle Tak-kun. Mio, la jeune maman, est morte l’année 

Charmer l’impassible hasard

Charmer l’impassible hasard

Après le délicieux « The lunch box », Ritesh Batra explore à nouveau comment les méandres du hasard peuvent réunir deux cœurs battant sur de distantes planètes. Dans « the lunch box », un dysfonctionnement inattendu du complexe, gigantesque et a priori infaillible système de livraison de  l’équivalent indien 

H I R O S H I M A

H I R O S H I M A

Posté le 06 Août 2013 il y a aujourd’hui 68 ans… l’occasion, peut être, de revoir le merveilleux film d’Alain Resnais. Emmanuelle Riva et Eiji Okada dans Hiroshima mon amour