Russians
In Europe and America
there’s a growing feeling of hysteria
Conditioned to respond to all the threats
In the rhetorical speeches of the Soviets
Mister Krushchev said, « We will bury you »
I don’t subscribe to this point of view
It’d be such an ignorant thing to do
If the Russians love their children too
How can I save my little boy
from Oppenheimer’s deadly toy?
There is no monopoly on common sense
On either side of the political fence
We share the same biology
regardless of ideology
Believe me when I say to you
I hope the Russians love their children too
There is no historical precedent
To put the words in the mouth of the president
There’s no such thing as a winnable war
It’s a lie we don’t believe anymore
Mister Reagan says, « We will protect you »
I don’t subscribe to this point of view
Believe me when I say to you
I hope the Russians love their children too
We share the same biology
regardless of ideology
But what might save us, me and you
Is if the Russians love their children too
En Europe et en Amérique,
un sentiment d’hystérie enfle
Conditionné à répondre à toutes les menaces
Dans les discours rhétoriques des Soviets
M. Krushchev a dit : « Nous vous enterrerons »
Je ne souscris pas à ce point de vue
Ce serait une chose si bête à faire
Si les Russes aiment aussi leurs enfants
Comment puis-je sauver mon enfant
du jouet mortel d’Oppenheimer ?
Il n’y a pas de monopole du bon sens
D’un côté ou de l’autre des opinions politiques
Nous partageons la même biologie
quelle que soit notre idéologie
Croyez-moi quand je vous dis
J’espère que les Russes aiment aussi leurs enfants
Il n’y a pas de précédent historique
Pour mettre les mots dans la bouche du président
Il n’y a pas vraiment de guerre gagnable.
C’est un mensonge auquel nous ne croyons plus.
Mister Reagan dit : « Nous vous protégerons »
Je ne souscris pas à ce point de vue
Croyez-moi quand je vous dis
J’espère que les Russes aiment aussi leurs enfants
Nous partageons la même biologie
quelle que soit notre idéologie
Mais ce qui pourrait nous sauver, vous et moi
C’est que les Russes aiment aussi leurs enfants
Sting, qui a écrit cette chanson magnifique en 1985 sur une musique de Prokofiev, vient de la ré-enregistrer pour une association caritative d’aide humanitaire et médicale. Elle est hélas plus que jamais d’actualité…
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